Le compositeur Philippe Hurel que je rencontrais hier pour préparer un hommage à Ivo Malec, me disait les difficultés que ses collègues et lui-même avaient à se faire jouer à l'étranger, notamment en Grande-Bretagne. Pierre Boulez s'en est, me dit-il, récemment ému, comparant l'ouverture internationale de sa génération à la fermeture actuelle.
Phiippe Hurel explique cela par la réduction des budgets. Lorsqu'ils sont trop faibles, on tente de les garder pour soi et on évite de les laisser partir à l'étranger.
Comme quoi, la mondialisation n'est pas ce long fleuve tranquille qu'on nous décrit parfois.
Phiippe Hurel explique cela par la réduction des budgets. Lorsqu'ils sont trop faibles, on tente de les garder pour soi et on évite de les laisser partir à l'étranger.
Comme quoi, la mondialisation n'est pas ce long fleuve tranquille qu'on nous décrit parfois.
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