Alors qu'au Parlement, on se préoccupe beaucoup de téléchargement, on parle moins des motifs pour lesquels on pirate. Or, là est peut-être la réponse aux questions que l'on se pose. J'avancerai deux motifs :
- la disponibilité : on trouve sur internet des choses qu'on ne trouve pas dans le commerce, et on les télécharge parce qu'on n'a pas d'autre manière de se les procurer. L'exemple le plus courant est celui des séries télévisées qui passent aux Etats-Unis et qu'on n'a pas en France ou (autre cas de figure) qu'on ne peut avoir qu'en s'abonnant à Canal Plus, ce qui fait un peu cher pour voir une émission, mais il y a d'autres exemples : Amazon, itunes et tous les distributeurs sur internet font pus de la moitié de leur chiffre d'affaires avec des disques, des livres… qu'on ne trouve pas dans le commerce (Amazon réalise un plus gros chiffre d'affaires avec les livres qui ne sont pas en vente chez Barnes Nobles qu'avec les 130 références que possède le grand libraire américain ;
- le coût trop élevé. Les éditeurs de disques, de films, de livres… vendent aux distributeurs sur internet à des coûts correspondant à leurs prix de vente en gros de leurs produits dans les circuits traditionnels. Apple achèrait les chansons qu'il vend 0,99$, 0,65$. L'objectif est, bien évidemment, déviter une révolte de leurs distributeurs, mais c'est évidemment bien trop cher et n'a aucun rapport avec ce que devrait être le prix d'une chanson prise sur internet.
On sait que les téléchargements pirates sont lents, très lents, prennent beaucoup plus de temps que les téléchargements payants.
Si l'on s'en tient à l'analyse économique, les pirates acceptent de travailler dans de mauvaises conditions (avec un ordinateur dont les performances sont ralenties) pour deux motifs :
- ils ne trouvent pas ailleurs le produit qu'ils recherchent,
- le prix à payer dans le circuit officiel ne compense les coûts qu'il y a à se fournir sur lecircuit parallèle : temps de connexion, ordinateur ralenti, attente du produit.
Le piratage cessera le jour où les producteurs se comporteront autrement qu'en défenseurs du passé.
- la disponibilité : on trouve sur internet des choses qu'on ne trouve pas dans le commerce, et on les télécharge parce qu'on n'a pas d'autre manière de se les procurer. L'exemple le plus courant est celui des séries télévisées qui passent aux Etats-Unis et qu'on n'a pas en France ou (autre cas de figure) qu'on ne peut avoir qu'en s'abonnant à Canal Plus, ce qui fait un peu cher pour voir une émission, mais il y a d'autres exemples : Amazon, itunes et tous les distributeurs sur internet font pus de la moitié de leur chiffre d'affaires avec des disques, des livres… qu'on ne trouve pas dans le commerce (Amazon réalise un plus gros chiffre d'affaires avec les livres qui ne sont pas en vente chez Barnes Nobles qu'avec les 130 références que possède le grand libraire américain ;
- le coût trop élevé. Les éditeurs de disques, de films, de livres… vendent aux distributeurs sur internet à des coûts correspondant à leurs prix de vente en gros de leurs produits dans les circuits traditionnels. Apple achèrait les chansons qu'il vend 0,99$, 0,65$. L'objectif est, bien évidemment, déviter une révolte de leurs distributeurs, mais c'est évidemment bien trop cher et n'a aucun rapport avec ce que devrait être le prix d'une chanson prise sur internet.
On sait que les téléchargements pirates sont lents, très lents, prennent beaucoup plus de temps que les téléchargements payants.
Si l'on s'en tient à l'analyse économique, les pirates acceptent de travailler dans de mauvaises conditions (avec un ordinateur dont les performances sont ralenties) pour deux motifs :
- ils ne trouvent pas ailleurs le produit qu'ils recherchent,
- le prix à payer dans le circuit officiel ne compense les coûts qu'il y a à se fournir sur lecircuit parallèle : temps de connexion, ordinateur ralenti, attente du produit.
Le piratage cessera le jour où les producteurs se comporteront autrement qu'en défenseurs du passé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire