C'est ce qu'annonce le New-York Post, journal qui a pas mal de choses à se faire pardonner dans cette affaire. L'article est un peu bizarre, il indique qu'elle a été placée dans cet hôtel du centre ville par son syndicat, ce qui devrait permettre d'accuser celui-ci de proxénétisme. Mais voici ce que dit le journal : "The Sofitel housekeeper who claims the former IMF boss sexually assaulted her in his room was doing double duty as a prostitute, collecting cash on the side from male guests, The Post has learned. "There is information . . . of her getting extraordinary tips, if you know what I mean. And it's not for bringing extra f--king towels," a source close to the defense investigation said yesterday. The woman was allegedly purposely assigned to the Midtown hotel by her union because it knew she would bring in big bucks. When you're a chambermaid at Local 6, when you first get to the US, you start at the motels at JFK [Airport]. You don't start at the Sofitel," the source said. "There's a whole squad of people who saw her as an earner." The woman also had "a lot of her expenses -- hair braiding, salon expenses -- paid for by men not related to her," the source said."
Cela confirmerait donc que la relation sexuelle fut consentie mais payée. Je ne sais pas si cela rend DSK plus présidentiable, mais cela n'en fait certainement pas un violeur.
Si tel est bien le cas, on peut imaginer que des clients se seraient manifestés une fois qu'on l'aurait vue à la télévision. Il est, d'ailleurs, assez bizarre que personne ne se soit manifesté pour dire à la presse ou sur internet que l'on trouvait dans cet hôtel des femmes de chambre pas très farouches.
Cela confirmerait donc que la relation sexuelle fut consentie mais payée. Je ne sais pas si cela rend DSK plus présidentiable, mais cela n'en fait certainement pas un violeur.
Si tel est bien le cas, on peut imaginer que des clients se seraient manifestés une fois qu'on l'aurait vue à la télévision. Il est, d'ailleurs, assez bizarre que personne ne se soit manifesté pour dire à la presse ou sur internet que l'on trouvait dans cet hôtel des femmes de chambre pas très farouches.
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