La crise européenne est souvent présentée par les éditorialistes comme une chance pour Nicolas Sarkozy de se refaire dans l'opinion, d'occuper le premier plan et de retrouver une image de Président qui s'occupe des affaires du monde quand son adversaire règle la dette de la Corrèze et se retrouve empêtré dans les affaires du PS. Mais est-ce bien sûr?
Quelle image ressort de ces sommets à répétition, de ces déclarations alarmistes, de ces chants de victoire qui se succèdent sans discontinuer? Une image positive. Pas si sûr.
Le Sarkozy que l'on voit à l'oeuvre se révèle brutal, pas très diplomate et plutôt mal élevé (faire attendre Papandréou, refuser de serrer la main de David Cameron), jamais en reste d'une contradiction (les eurobonds indispensables puis inutiles, le AAA capital, secondaire…), faible devant Angela Merkel, acceptant un renforcement des contrôles sur les budgets nationaux qui ne peut que hérisser les eurosceptiques, hâbleur (toutes ces proclamations définitives de victoire) et somme tout incompétent.
Brutal, faible, hâbleur, mal élevé, incompétent… Cela fait beaucoup pour un seul homme.
Quelle image ressort de ces sommets à répétition, de ces déclarations alarmistes, de ces chants de victoire qui se succèdent sans discontinuer? Une image positive. Pas si sûr.
Le Sarkozy que l'on voit à l'oeuvre se révèle brutal, pas très diplomate et plutôt mal élevé (faire attendre Papandréou, refuser de serrer la main de David Cameron), jamais en reste d'une contradiction (les eurobonds indispensables puis inutiles, le AAA capital, secondaire…), faible devant Angela Merkel, acceptant un renforcement des contrôles sur les budgets nationaux qui ne peut que hérisser les eurosceptiques, hâbleur (toutes ces proclamations définitives de victoire) et somme tout incompétent.
Brutal, faible, hâbleur, mal élevé, incompétent… Cela fait beaucoup pour un seul homme.
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