Il y a quelques semaines, on parlait du "Hollande bashing" de la presse française. Tout cela est bien fini. La presse semble avoir modifié en profondeur son jugement. En témoignent de nombreux indices, comme cette formule du Monde :
On retrouve ce même changement d'humeur ou de jugement au détour d'articles ou d'éditoriaux un peu partout et ceci depuis avant l'intervention au Mali. Je pense notamment à des notations, des incises qui suggèrent que bien loin d'être des reculades ou des maladresses certaines de ses déclarations comme celle sur la liberté de conscience des maires n'étaient qu'une manière de dégager le terrain (de fait, François Hollande n'avaient alors dit que l'évidence : la plupart des mariages sont confiés à des adjoints et rien n'interdit au maire qui ne voudrait pas réaliser de mariage homosexuel de se défausser sur un élu que cela ne gêne pas).
Cela ne veut pas dire que la presse sera demain moins critique et moins sévère, mais l'image qu'elle se fait (et nous donne) de François Hollande a évolué et quoi qu'il arrive de sa popularité (qui reste bien faible malgré le Mali), elle ne le jugera plus de la même manière. Les accusations d'indécision, de faiblesse, de goût de la synthèse vont disparaître. On lui trouvera sans doute d'autres défauts, mais pas ceux-là…
Dans la chronologie de l'intervention militaire française au Mali, débutée le 11 janvier, la visite du président français intervient à un moment proche de la perfection.Proche de la perfection… le compliment est rare.
On retrouve ce même changement d'humeur ou de jugement au détour d'articles ou d'éditoriaux un peu partout et ceci depuis avant l'intervention au Mali. Je pense notamment à des notations, des incises qui suggèrent que bien loin d'être des reculades ou des maladresses certaines de ses déclarations comme celle sur la liberté de conscience des maires n'étaient qu'une manière de dégager le terrain (de fait, François Hollande n'avaient alors dit que l'évidence : la plupart des mariages sont confiés à des adjoints et rien n'interdit au maire qui ne voudrait pas réaliser de mariage homosexuel de se défausser sur un élu que cela ne gêne pas).
Cela ne veut pas dire que la presse sera demain moins critique et moins sévère, mais l'image qu'elle se fait (et nous donne) de François Hollande a évolué et quoi qu'il arrive de sa popularité (qui reste bien faible malgré le Mali), elle ne le jugera plus de la même manière. Les accusations d'indécision, de faiblesse, de goût de la synthèse vont disparaître. On lui trouvera sans doute d'autres défauts, mais pas ceux-là…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire