La crise s'aggrave, de financière et économique, elle est devenue politique tant aux Etats-Unis qu'en France. Les gouvernements pris en étaux entre des exigences contradictoires ne peuvent plus tenir leurs promesses. Il leur reste à éviter la crise sociale qui pourrait bien suivre demain avec les risques que l'on sait.
Une solution serait de donner aux citoyens des raisons d'espérer. En ce sens, les mesures prises par le gouvernement Ayrault sur le front de l'emploi, s'il n'est pas certain qu'elles permettent de stabiliser le chômage avant la fin de l'année, vont dans le bon sens. Toutes, contrats d'avenir, contrat de génération, recrutement de 60 000 jeunes enseignants visent un même public : les jeunes. Si elles réussissent à faire reculer le chômage de cette catégorie de la population, ce sera important pour donner au moins une raison d'espérer aux jeunes, à leurs proches, à leurs parents… Est-ce que cela suffira? Non, bien sûr. Et il faudra trouver autre chose.
On nous dit que François Hollande est apprécié des chefs d'entreprise qu'il emmène en voyage. Peut-être pourrait-il leur demander, demander à ceux, du moins qui en ont les capacités financières et peut-être, surtout, humaines, de développer des programmes de solidarité avec les entreprises en difficulté. Non pas forcément en les rachetant, cela n'a en général pas de sens, mais en leur demandant, par exemple, de créer des programmes de soutien aux entreprises en difficulté. Envoyer des cadres compétents en organisation, marketing, production ou logistique (pas forcément des cadres supérieurs, plutôt des cadres moyens, des agents de maîtrise…) aider des PME dont l'une des grandes faiblesses est le manque de compétences pourrait être une de ces solutions. Il suffit souvent de peu de choses, de la mise en place de techniques éprouvées dans les grands groupes pour soulager une PME, réduire ses coûts, améliorer sa qualité ou ses ventes. Je ne suis pas sûr que ce genre de solidarité relève de la loi. Mais le MEDEF ou d'autres organisations patronales pourraient tenter l'aventure.
Une solution serait de donner aux citoyens des raisons d'espérer. En ce sens, les mesures prises par le gouvernement Ayrault sur le front de l'emploi, s'il n'est pas certain qu'elles permettent de stabiliser le chômage avant la fin de l'année, vont dans le bon sens. Toutes, contrats d'avenir, contrat de génération, recrutement de 60 000 jeunes enseignants visent un même public : les jeunes. Si elles réussissent à faire reculer le chômage de cette catégorie de la population, ce sera important pour donner au moins une raison d'espérer aux jeunes, à leurs proches, à leurs parents… Est-ce que cela suffira? Non, bien sûr. Et il faudra trouver autre chose.
On nous dit que François Hollande est apprécié des chefs d'entreprise qu'il emmène en voyage. Peut-être pourrait-il leur demander, demander à ceux, du moins qui en ont les capacités financières et peut-être, surtout, humaines, de développer des programmes de solidarité avec les entreprises en difficulté. Non pas forcément en les rachetant, cela n'a en général pas de sens, mais en leur demandant, par exemple, de créer des programmes de soutien aux entreprises en difficulté. Envoyer des cadres compétents en organisation, marketing, production ou logistique (pas forcément des cadres supérieurs, plutôt des cadres moyens, des agents de maîtrise…) aider des PME dont l'une des grandes faiblesses est le manque de compétences pourrait être une de ces solutions. Il suffit souvent de peu de choses, de la mise en place de techniques éprouvées dans les grands groupes pour soulager une PME, réduire ses coûts, améliorer sa qualité ou ses ventes. Je ne suis pas sûr que ce genre de solidarité relève de la loi. Mais le MEDEF ou d'autres organisations patronales pourraient tenter l'aventure.
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