A quelques jours d'intervalle, nous aurons eu deux séquences qui illustrent les tendances de fonds :
- l'image d'un parti socialiste conquérant réuni, toutes divergences oubliées, autour de son candidat qu'un vote populaire venait de légitimer,
- l'image d'une droite désemparée qu'illustrent les brouilles de plus en plus venimeuses sur fonds d'inquiétude sur les résultats des prochaines législatives et de concurrence pour la candidature en 2017 entre Fillon et Copé, avec pour terrain de bataille une circonscription solidement établie à droite à Paris. Fillon craignant de perdre l'élection dans la Sarthe se reporte vers une circonscription que vise Rachida Dati.
Celle-ci bien loin de se laisser faire ou de tenter de négocier son éloignement attaque et frappe fort. Ses accusations sont de celles qu'on ne pardonne que difficilement.
Il y a le combat des chefs, de Fillon et Copé mais on sent, derrière, la blessure d'une femme qui n'oublie pas qu'elle a été l'icone de la diversité, et qu'on lui a demandé de mener une réforme de la justice allant à l'encontre des attentes des magistrats, dont elle fut.
La violence de la réaction de Rachida Dati est à l'image de la blessure que fut la sienne lorsque le Président l'a rejetée. Il paie avec elle, comme avec d'autres, sa brutalité.
- l'image d'un parti socialiste conquérant réuni, toutes divergences oubliées, autour de son candidat qu'un vote populaire venait de légitimer,
- l'image d'une droite désemparée qu'illustrent les brouilles de plus en plus venimeuses sur fonds d'inquiétude sur les résultats des prochaines législatives et de concurrence pour la candidature en 2017 entre Fillon et Copé, avec pour terrain de bataille une circonscription solidement établie à droite à Paris. Fillon craignant de perdre l'élection dans la Sarthe se reporte vers une circonscription que vise Rachida Dati.
Celle-ci bien loin de se laisser faire ou de tenter de négocier son éloignement attaque et frappe fort. Ses accusations sont de celles qu'on ne pardonne que difficilement.
Il y a le combat des chefs, de Fillon et Copé mais on sent, derrière, la blessure d'une femme qui n'oublie pas qu'elle a été l'icone de la diversité, et qu'on lui a demandé de mener une réforme de la justice allant à l'encontre des attentes des magistrats, dont elle fut.
La violence de la réaction de Rachida Dati est à l'image de la blessure que fut la sienne lorsque le Président l'a rejetée. Il paie avec elle, comme avec d'autres, sa brutalité.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire